Aller au contenu

Page:Montesquieu Esprit des Lois 1777 Garnier 4.djvu/556

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
538
TABLE

conquis, I. 287. On croit communément que c’est l’état où il y a le plus de liberté, I. 307, 308. Quel est le chef-d’œuvre de législation dans une petite république, I. 341. Pourquoi, quand elle conquiert, elle ne peut pas gouverner les provinces conquises autrement que despotiquement ? I. 375. Il est dangereux d’y trop punir le crime de lese-majesté, I. 410 & suiv. Comment on y suspend l’usage de la liberté, I. 413, 414. Lois qui y sont favorables à la liberté des citoyens, I. 414, 415. Quelles y doivent être les lois contre les débiteurs, I. 415 & suiv. Tous les citoyens y doivent-ils avoir la liberté de sortir des terres de la république ? I. 430. Quels tributs elle peut lever sur les peuples qu’elle a rendus esclaves de la glebe, II. 5. On y peut augmenter les tributs, II. 18. Quel impôt y est le plus naturel, II. 19, 20. Ses revenus sont presque toujours en régie, II. 27, 28. La profession des traitans n’y doit pas être honorée, II. 29. La pudeur des femmes esclaves y doit être à couvert de l’incontinence de leurs maîtres, II. 78, 79. Le grand nombre d’esclaves y est dangereux, II. 80. Il est plus dangereux d’y armer les esclaves, que dans une monarchie, II. 81. Réglemens qu’elle doit faire touchant l’affranchissement des esclaves, II. 90 & suiv. L’empire sur les femmes n’y pourroit pas être bien exercé, II. 107. Il s’en trouve plus souvent dans les pays stériles, que dans les pays fertiles, II. 139 & suiv. Il y a des pays où il seroit impossible d’établir ce gouvernement, II. 186, 187. S’allie très-facilement avec la Religion chrétienne, II. 208, 209. Le commerce d’économie y convient mieux que celui de luxe, II. 242 & suiv. On y peut établir un port franc, II. 253. Comment doit acquitter ses dettes, III. 49. Les bâtards y doivent être plus odieux que dans les monarchies, III. 71. Il y en a où il est bon de faire dépendre les mariages des magistrats, III. 73. On y réprime également le luxe de vanité, & celui de superstition, III. 175. L’inquisition n’y peut former que de mal-honnêtes gens, III. 211. On y doit faire ensorte que les femmes ne puissent