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Page:Montesquieu Esprit des Lois 1777 Garnier 4.djvu/566

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TABLE

369 & suiv. Comment gouverna les provinces dans les différens degrés de son accroissement, I. 373 & suiv. Comment on y levoit les tributs, I. 376, 377. Pourquoi la force des provinces conquises ne fit que l’affoiblir, I. 377. Combien les lois criminelles étoient imparfaites sous ses rois, I. 381. Combien il y falloit de voix pour condamner un accusé, I. 383. Ce que l’on y nommoit privilege du temps de la république, I. 414. Comment on y punissoit un accusateur injuste. Précautions pour l’empêcher de corrompre ses juges, I. 415. L’accusé pouvoit se retirer avant le jugement, ibid. La dureté des lois contre les débiteurs a pensé plusieurs fois être funeste à la république : tableau abrégé des événemens qu’elle occasionna, I. 416 & suiv. Sa liberté lui fut procurée par des crimes, & confirmée par des crimes, I. 418. C’étoit un grand vice dans son gouvernement d’affermer ses revenus, II. 27. La république périt, parce que la profession des traitans y fut honorée, II. 29. Comment on y punissoit les enfans, quand on eut ôté aux peres le pouvoir de les faire mourir, II. 87, 88. On y mettoit les esclaves au niveau des bêtes, II. 89. Les diverses lois touchant les esclaves & les affranchis prouvent son embarras à cet égard, II. 90. Ses lois politiques au sujet des affranchis étoient admirables, II. 92, 93. Est-il vrai que pendant cinq cent vingt ans personne n’osa user du droit de répudier, accordé par la loi ? II. 119 & suiv. Quand le péculat commença à y être connu. La peine qu’on lui imposa prouve que les lois suivent les mœurs, II. 214, 215. On y changea les lois, à mesure que les mœurs y changerent, ibid. & suiv. La politesse n’y est entrée que quand la liberté en est sortie, II. 234. Différentes époques de l’augmentation de la somme d’or & d’argent qui y étoit, & du rabais des monnoies qui s’y est toujours fait en proportion de cette augmentation, III. 38 & suiv. Sur quelle maxime l’usure y fut réglée après la destruction de la république, III. 64. Les lois y furent peut-être trop dures contre les bâtards, III. 71, 72. Fut plus affoiblie par les dis-