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Page:Montesquieu Esprit des Lois 1777 Garnier 4.djvu/577

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DES MATIERES.

mes, III. 136. Nioient l’immortalité de l’ame : de ce faux principe ils tiroient des conséquences admirables pour la société, III. 150. L’auteur a loué leur morale ; mais il a combattu leur fatalité, D. 236, 237. Le nouvelliste les prend pour des sectateurs de la religion naturelle, tandis qu’ils étoient athées, D. 352.

Subordination des citoyens aux magistrats. Donne de la force aux lois, I. 100, 101. — des enfans à leurs pere. Utile aux mœurs, I. 101, 102. — des jeunes aux vieillards. Maintient les mœurs, I. 100.

Subsides. Ne doivent point dans une aristocratie mettre de différence dans la condition des citoyens, I. 104, 105.

Substitutions. Pernicieuses dans une aristocratie, I. 109. Sont utiles dans une monarchie, pourvu qu’elles ne soient permises qu’aux nobles, I. 111. Gênent le commerce, ibid. Quand on fut obligé de prendre à Rome des précautions pour préserver la vie du pupille des embûches du substitué, II. 215, 216. Pourquoi étoient permises dans l’ancien droit romain & non pas les fidéicommis, III. 250. Quel étoit le motif qui les avoit introduites à Rome, III. 414, 415.

Substitutions pupillaires. Ce que c’est, II. 216.

Substitutions vulgaires. Ce que c’est, ibid. En quel cas avoient lieu, III. 415.

Subtilité. Est un défaut qu’il faut éviter dans la composition des lois, III. 432.

Successions. Un pere peut dans une monarchie donner la plus grande partie de la sienne à un seul de ses enfans, I. 122. Comment sont réglées en Turquie, I. 124. — à Bantam, ibid. — à Pégu, ibid. Appartiennent au dernier des mâles chez les Tartares, dans quelques petits districts de l’Angleterre, & dans le duché de Rohan en Bretagne : raisons de cette loi, I. 261, 262. Quand l’usage d’y rappeller la fille & les enfans de la fille s’introduisit parmi les Francs : motifs de ces rappels, II. 164 & suiv. Ordre bizarre établi par la loi salique sur l’ordre des successions : raisons & source de cette bizarrerie, II. 165 & suiv. Leur ordre dé-