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Page:Montesquieu Esprit des Lois 1777 Garnier 4.djvu/591

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DES MATIERES.

menés à la guerre, ib. 49, 50. Ceux du roi étoient fournis à la correction du comte, IV. 52. Étoient obligés, dans les commencemens de la monarchie, à un double service ; & c’est dans ce double service que l’auteur trouve l’origine des justices seigneuriales, ibid & suiv. Pourquoi ceux des évêques & abbés étoient menés à la guerre par la comte, IV. 53. Les prérogatives de ceux du roi ont fait changer presque tous les alleux en fiefs : quelles étoient ces prérogatives, IV. 133 & suiv. Quand ceux qui tenoient immédiatement du roi commencerent à en tenir médiatement, IV. 193 & suiv.

Vasselage. Son origine, IV. 193 suiv.

Vénalité des charges. Est-elle utile ? I. 142, 143.

Vengeance. Étoit punie chez les Germains quand celui qui l’exerçoit avoit reçu la composition, IV. 63 & suiv.

Venise. Comment maintient son aristocratie contre les nobles, I. 28. Utilité de ses inquisiteurs d’état, I. 28, 29. En quoi ils different des dictateurs romains, ibid. Sagesse d’un jugement qui y fut rendu entre un noble vénitien & un simple gentilhomme, I. 103. Le commerce y est défendu aux nobles, I. 107. Il n’y a que les courtisanes qui puissent y tirer de l’argent des nobles, I. 199. On y a connu & corrigé par les lois les inconvéniens d’une aristocratie héréditaire, I. 233. Pourquoi il y a des inquisiteurs d’état : différens tribunaux dans cette république, I. 313, 314. Pourroit plus aisément être subjuguée par ses propres troupes, que la Hollande, I. 332. Quel étoit son commerce, II. 242. Dut son commerce à la viooence & à la vexation, II. 246. Pourquoi les vaisseaux n’y sont pas si bons qu’ailleurs, II. 284. Son commerce fut ruiné par la découverte du cap de Bonne-Espérence, II. 346, 347. Loi de cette république contraire à la nature des choses, III. 259.

Vents alisés. Étoient une espece de boussole pour les anciens, II. 305.

Vérité. Dans quel sens on en fait cas dans une monarchie, I. 61, 62. C’est pas la persuasion, & non par les supplices, qu’on la doit faire recevoir, III. 186.