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Page:Musset - Œuvres complètes d’Alfred de Musset. Œuvres posthumes.djvu/81

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À MADAME A. T.


Qu’un jeune amour plein de mystère
Pardonne à la vieille amitié
D’avoir troublé son sanctuaire.
D’une belle âme qui m’est chère,
Si j’ai jamais eu la moitié,
Je vous la lègue tout entière.


1843.


Le jour de sa première visite à madame A. T., Alfred de Musset, ne l’ayant pas trouvée chez elle, écrivit ces vers sur sa carte.