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Page:Musset - Œuvres complètes d’Alfred de Musset. Nouvelles et Contes II.djvu/165

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vant le chevalier, elle posa son doigt sur ses petites lèvres, en les frottant un peu, comme pour l’inviter à parler. L’enfant se fit prier quelques minutes, puis prononça bien distinctement ces deux mots, que la mère lui avait fait apprendre d’avance : — Bonjour, papa.

— Et vous voyez bien que Dieu pardonne tout, et toujours, dit l’oncle Giraud.

FIN DE PIERRE ET CAMILLE.