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Page:NRF 3.djvu/457

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éloges 447

grand corps couleur d'êcorce, ô corps comme une

table de sacrifices ! et table de ma loi ! Aînée ! ô plus

Paisible quun dos de fleuve ! nous louons

quun crin

splendide et fauve orne ton flanc caché, dont l'am- bassadeur rêve qui se met en chemin dans sa plus belle

robe î "

— Mais qui saurait par où faire entrée dans son coeur ?

��" J'ai dit en outre, menant mes yeux comme deux chiennes bien douées : O bien-Assise, ô Lourde ! tes mains pacifiques et

larges ! sont comme un faix puissant de palmes sur V aise de tes jambes

ici et la

ou brille et tourne

le bouclier luisant de tes genoux ; et nul

fruit

à ce ventre infécond scellé du haut nombril ne veut pendre, sinon, par on ne sait quel secret pédoncule

nos têtes ! "

— Mais qui saurait par où faire entrée dans son cœur ?

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