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Page:NRF 3.djvu/747

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L HUILE DE LA LAMPE 737

Détestable matin, tu ruisselles, en vain ! Je n'irai pas mouiller mes pieds dans ta rosée ; Et les bras nus de F aube peuvent bien m y inviter, je referme les yeux et ne veux rien savoir.

��Levez-vous donc, ma sœur, et louons Dieu plutôt que si peu de lyrisme supplée à la nature... U hiver aura tôt fait de ruiner ces verdures, mais, comme il est dit dans les Saintes-Ecritures, la flamme de la lampe brûle toujours plus haut.

Ambroise Raynal.

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