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Page:Nichault - Scenes du jeune age V1.pdf/118

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comme tu serais honteuse de prier quelqu’un de te dire ce qu’elle renferme !

— Eh bien ! si tu veux que j’apprenne tout de suite, tu feras monter Phrosine à l’heure de la leçon ; elle épellera avec moi. Tu verras comme je serai sage !

— Bah ! vous jouerez toutes deux au lieu d’étudier.

— Non, vrai ; je te le promets bien, reprit Henriette en passant ses petits bras autour du cou de sa mère. Veux-tu ?… Puis elle la baisait. — N’est-ce pas que tu le veux bien ?… Elle la caressait encore plus. Enfin, ma-