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Page:Nichault - Scenes du jeune age V1.pdf/229

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en mauvais état de santé, et qu’il fallait par précaution leur leur faire prendre deux bonnes médecines. À cette ordonnance Agénor se révolta et soutint qu’il se portait à merveille.

Ne le croyez point, madame, dit mademoiselle Adélaïde : Firmin, qui couche maintenant près de M. Agénor, assure qu’il se réveille souvent la nuit, et qu’il a un sommeil fort agité. Pas plus tard que cette nuit, il l’a entendu parler en dormant ; il criait de toutes ses forces : Pardon, François, pardon ; ne me regarde pas comme cela ! Ah ! mon