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Page:Nichault - Scenes du jeune age V1.pdf/231

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d’avaler tout ce qu’on voudrait lui faire prendre.

Quand il se trouva seul avec sa cousine :

— Eh bien ! nous voilà malades à présent, dit-elle, le coeur gros de soupirs ; le médecin va nous ordonner tous les matins quelques vilaines drogues. Toi, qui es grand, cela t’est bien égal ; mais moi, j’aime autant mourir que de boire ces horreurs-là !

— Bah ! ce n’est pas cela qui m’inquiète, répond Agénor ; mais j’ai bien une autre crainte.

— Est-ce que tu as encore cassé quelque chose ? de-