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Après une foule de dépenses de ce genre, Albine, qui en méditait encore beaucoup d’autres, vint trouver Ferdinand :
— Je n’ai plus d’argent, lui dit-elle un jour ; je ne sais plus comment faire. Ne pourrais-tu pas, Ferdinand, en demander à ton père, et me le prêter ?
— À mon père ? vraiment non. Il s’est arrangé pour ne jamais m’en donner ; et cependant, si tu peux attendre, j’en aurai dans quinze jours à ta disposition.
— Où le trouveras-tu ?
— J’ai mon semestre de rentes à toucher.