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pour cela que je le dédie à ma chère Marie.
— Savez-vous bien, Elvina, que voilà près de dix jours que M. d’Hervins n’est venu voir votre maman, et que j’ai bien peur qu’il ne revienne plus ici.
— Ah ! pourquoi donc cela, ma bonne ?
— Pourquoi ? parce que vous lui avez dit l’autre jour, quand il nous a rencontrées aux Tuileries, quelque chose qui ne lui a pas été agréable.
— Moi faire de la peine à M. d’Hervins, qui est si bon, qui