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nante de joie, chercher sa fille pour l’emmener passer deux jours avec elle.
— Mon oncle est donc sauvé, dit Elvina en sautant au cou de sa mère !
— Quoi ! tu savais…, mon enfant ?…
— Oui, je savais qu’il était caché dans la chambre de Jules ; mais je savais aussi qu’il ne fallait pas le dire.
— Et tu ne l’as pas dit, même à moi ?…
— Non : tu aurais cru que j’allais le répéter, reprit Elvina en fondant en larmes ; et pourtant…