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Page:Nichault - Scenes du jeune age V2.pdf/224

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rantes, à la malheureuse Albertine, lorsque la porte s’ouvrit brusquement.

— Pardon, dit le vieux général, si je reviens si tôt vous importuner. Mais je me souviens d’avoir rencontré cette petite fille ; j’ai des idées sur elle dont il peut être bon que je vous fasse part… Je lui ai vu certaine pièce d’or dont elle me semblait fort embarrassée… et qui ne m’avait pas l’air d’être à elle.

— Elle était à moi, interrompit madame de Verdières, et voici qu’elle m’en rapporte la monnaie, ajouta-t-elle en prenant