signalement, et en l’adoptant, vous n’avez fait que réunir deux cœurs, qui ne peuvent se passer l’un de l’autre, ah ! pour ça, jamais !
Le fait est que c’est bien difficile tout cela… comment faire ?
Mais, Pierrette, nous n’avons pas le choix : pense donc, que bien que ce soit une jolie somme, ce n’est pas avec tes vingt-cinq sous, et moi avec mes trente-cinq, que nous pourrons installer notre petit ménage… il faut que le parrain, qui est si généreux, nous aide, ou bien nous sommes perdus !
Écoute, je crois que j’ai trouvé un moyen….
Lequel ! vite dis-moi lequel !
Attendons encore un an.
Attendre, moi ! mais tu ne sais donc pas, Pierrette, ce qui se passe dans mon cœur d’homme.
Peux-tu parler d’attendre
Lorsque je compte les instants,
Quand pour te voir, t’entendre,
Les jours pour moi, durent cent ans !
Plus un mot, je t’arrête,