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Page:Normand - À tire-d’aile, 1878.djvu/120

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IV

LES VIOLETTES.


À ALPHONSE DAUDET


Jamais imitateur n’égala son modèle…


Quoi ! c’est vous qui me demandez
Pourquoi j’aime les violettes
Plus que roses et pâquerettes ?
Quoi ! c’est vous qui le demandez !
Qu’à l’oubli vite vous cédez,
Et l’inconstante que vous faites !
Quoi ! c’est vous qui me demandez
Pourquoi j’aime les violettes