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Page:Normand - À tire-d’aile, 1878.djvu/135

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VII

REMERCÎMENT.


Le soleil, en mourant, colore
De son rayon chaud et doré
Cette chambre, où voltige encore
Ton cher souvenir adoré.

Ô toi ! qu’a mise sur ma voie
Le hasard ou plutôt le ciel,
Du fond de l’âme, je t’envoie
Un remercîment éternel.