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Page:Normand - À tire-d’aile, 1878.djvu/144

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À lui ces coquetteries
Que tu cherchais à plaisir ;
Ces savantes bouderies
Où s’irritait mon désir !

À lui, toi, toi, ma Laurette,
Telle que je t’adorais,
Telle que l’enfer t’a faite,
Et telle que je te hais.


II


Or çà, toi qui sus complaire
À ce cœur blasé de moi,
Qui que tu sois, ô mon frère !
Écoute et prends garde à toi !

La partie est forte et dure :
Nul n’en peut sortir vainqueur