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Page:Normand - À tire-d’aile, 1878.djvu/165

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Dors, calme et suave !
Moi que fait esclave

L’amour,

Moi qui souffre et t’aime,
Sans espérer même

Un jour,


Rêveur, je balance,
Versant en silence

Des pleurs,

Le hamac qui vole
Frôlant la corolle

Des fleurs !