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Page:Normand - À tire-d’aile, 1878.djvu/178

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À Paris, au milieu de nos mesquines fêtes,
Quand vous parlez ainsi du pays des prophètes
Votre cœur s’élargit et palpite tout bas ;

Et sur vos yeux profonds où l’on peut si bien lire,
Comme sur de l’émail, vient briller et sourire
Le rayon d’un soleil que vous n’oubliez pas.