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Page:Normand - À tire-d’aile, 1878.djvu/230

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Au temps jadis où je l’aimais
Je souffrais souvent, je pleurais,
J’avais le cœur gonflé de larmes :
Mais ces pleurs étaient pleins de charmes,
Et je ne l’oublierai jamais
Le temps jadis où je l’aimais !