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Page:Normand - Paravents et Tréteaux, 1882.djvu/164

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Hélas ! combien de nous, frappés
Dans cette guerre sacrilège,
Avec nous seraient occupés
À fêter notre Vieux collège !

Heureux temps, vite évanoui !
Sachons donc, amis, aujourd’hui,
Nous que son souvenir rassemble,
Le célébrer avec élan :
Quand on se voit une fois l’an,
C’est bien le moins qu’on crie ensemble :
« Vive Rollin ! » — Cris triomphants
Que nos enfants, — Dieu les protège ! —
Répéteront à leurs enfants :
« Vive le cher et Vieux collège ! »