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Page:Normand - Paravents et Tréteaux, 1882.djvu/177

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Au nom de cette foule à ma voix réunie
Pour honorer ton nom et fêter ton génie,
Ô Maître, je t’envoie un long remercîment :
Dans ton éternité souris-nous doucement,
Et reçois aujourd’hui de nous, tant que nous sommes,
Cet hommage sacré que l’on doit aux grands hommes !