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Page:Normand - Paravents et Tréteaux, 1882.djvu/200

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LA FEMME.

Oui, ma maîtresse.Et qu’a-t-il dit ?

FINETTE.

Qu’il est tout vôtre, et se maudit
D’avance, si plus que lui-même
Et pour toujours il ne vous aime.

LA FEMME.

C’est tout ?

FINETTE.

C’est tout ?Non ! qu’il vous servira
Et fera ce qu’il vous plaira…
Il est bien mignon, sur mon âme !

LA FEMME.

Oh ! oui ! Finette ! Toute femme
L’aimerait !