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Page:Normand - Paravents et Tréteaux, 1882.djvu/223

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À mon maître ceci, cela :
Que vous allez deçà, delà…
Que vous êtes méchante femme,
Et très vilaine, et très infâme…
Que vous vous tournez et portez
À tous les vents, de tous côtés…
Mon maître, — s’il vous savait telle,
Vous haïrait de mort mortelle !

LA FEMME, tranquillement.

C’est tout ?

FINETTE.

C’est tout ?C’est assez !

LA FEMME.

C’est tout ? C’est assez !Ce n’est rien !

FINETTE.

Mais…