Aller au contenu

Page:Normand - Paravents et Tréteaux, 1882.djvu/73

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

SI J’ÉTAIS FEMME !




Poésie pour les dames seules.




Dite par M. Saint-Germain.





Comme des lourdauds que nous sommes,
Nous répétons, nous autres hommes,
Avec un grand air irrité,
Qu’en vous montrant un peu coquettes
Avec nous, mesdames, vous êtes
Des monstres de perversité.