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Page:Nouvelles de Batacchi, (édition Liseux) 1880-1882.djvu/268

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À MON CHER XANTIPPICO


Voici une Nouvelle que je t’envoie, comme une preuve de plus de mon amitié. Puisse-t-elle me rappeler à ton souvenir et te distraire un instant au milieu de tes graves occupations ! Le pauvre père Marco, mal arrangé par la jalousie d’un Espagnol et par la haine du père Buti, espère trouver en toi un puissant appui contre les caquets des pédants. Ne lui refuse pas cette faveur ou, au moins, ne sois pas contre lui d’accord avec eux.

Aime-moi et porte-toi bien.