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Page:Oraison funèbre de très haute et puissante Dame, Madame Justine Pâris, 1884.djvu/47

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dique Gazette avait dû prendre faveur sous le règne de la crapuleuse Comtesse du Barry, et les jolis commentaires qu’elle pouvait y faire, en lisant les turpitudes qu’on y dévoilait.

 
 

Le lieutenant de police d’aujourd’hui est déchargé de cette ignoble rédaction. Le jeune roi actuel (Louis XVI), amis des mœurs et de la vertu, a rejeté avec indignation une chronique aussi ignominieuse.

Mais ces archives d’horreurs et d’infâmies n’en subsistent pas moins, comme pouvant servir à diriger le Ministère dans quantité d’opérations sourdes, à lui fournir le fil de beaucoup de choses et le secret de presque toutes les familles.

O tempora ! O mores !


FIN.