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Page:Origine et progrès de la puissance des Sikhs dans le Penjab, et histoire du Maha-Radja Randjit Singh.djvu/253

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la traiter autrement après la conduite qu’elle a tenue[1].

  1. Sada Kounwar, nousa dit le général Allard, n’était pas prisonnière, mais gardée à vue et jouissant de la liberté d’aller partout où elle voulait en se faisant suivre de son escorte. Randjit Singh la traita toujours avec beaucoup d’égards et lui payait une pension considérable ; plusieurs fois même il chargea le général Allard de faire des tentatives de réconciliation auprès de sa belle-mère, mais ce fut toujours en vain. Randjit Singh n’a jamais oublié que ce fut elle qui commenca l’édifice de sa fortune. Cette princesse est morte aujourd’hui.