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Page:Ozanam - Œuvres complètes, 3e éd, tome 10.djvu/55

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VIII
ANDRÉ-MARIE AMPÈRE À FRÉDÉRIC OZANAM.
Paris, 5 mai.

Mon cher et excellent ami, Vous savez bien que je n’ai plus que huit jours à être à Paris, et que la traduction des vers explicatifs de mon tableau exige plus d’une séance. Par toute l’amitié que vous avez pour moi, il n’y a donc pas un moment à perdre, si vous ne voulez pas me priver d’une chose à laquelle j’attache un bien grand intérêt. J’en serai reconnaissant au delà de toute expression et vous en fais d’avance un million de remercîments. Mille fois tout à vous, cher et excellent ami,

A. AMPÈRE.
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