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Page:Ozanam - Œuvres complètes, 3e éd, tome 11.djvu/491

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Adieu, très-cher ami ; mais tout en restant le plus laborieux et le plus fêté des hommes, ne vous laissez pas abîmer par les veilles. Tous ceux qui vous aiment avec moi vous prient de vous conserver. Adieu encore : que je voudrais vous serrer la main !

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