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Page:Ozanam - Œuvres complètes, 3e éd, tome 11.djvu/548

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néant, une importunité ce semble, une visite à recevoir que je maudis, et elle me donne plus tard l’occasion de faire quelque bien. A l’heure qu’il est, le grand bienfait de Dieu serait de me guérir, de me guérir d’un seul coup, ainsi que le demandent pour moi mes proches, mes amis et tant de saintes âmes. Mais jusqu’à ce jour, Seigneur, vous ne l’avez pas voulu. Je ne compterai cependant pas parmi les petites faveurs les tendres soins dont vous me faites entourer, ni les consolations religieuses qui me viennent de vous avec une douceur inexprimable.