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Page:Pérochon - Les Hommes frénétiques, 1925.djvu/251

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UNE GENÊSE

plaine endormie sous la brume, aux êtres invisibles et mystérieux dont les yeux clignotaient entre les nuées voyageuses.

Et, dans sa voix, tremblait l’espoir des temps à venir, des jours innombrables pleins d’éclatante lumière, des lentes nuits baignées d’amour.

Sous l’énorme quiétude du ciel, il disait à la terre pacifiée le jeune espoir de la race chanteuse, paresseuse et douce.



FIN