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Page:Paul Vibert - Mon berceau, 1893.djvu/377

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LE PALAIS-ROYAL

Non, le Palais-Royal n’est pas mort ! il est plus vivant que jamais, c’est clair, c’est évident, c’est certain ; cependant personne ne s’occupe de lui, il prospère seul ; ce qu’il lui faudrait, c’est un homme de bonne volonté qui le défende, qui prenne en mains ses intérêts, qui les connaisse et soit à même de les défendre au sein des assemblées.

Voilà la vérité. Ce n’est pas son architecte qui soutiendra ses revendications, ses desiderata, et sur les autres terrains, il est, hélas ! aussi délaissé.

C’est là le malheur, car avec un peu d’activité et d’énergie, on pourrait en faire le centre le plus vivant du monde entier.

C’est aux intéressés à aviser en temps opportun et à savoir trouver la solution pratique que comporte une pareille situation.