Aller au contenu

Page:Paul Vibert - Mon berceau, 1893.djvu/41

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
36
L’Hôtel du duc d’Orléans

Un dernier mot : il paraît qu’avec beaucoup de soins et pas mal de risques, hélas, on peut arriver à rentoiler des fresques et que l’État, d’accord avec Mme Thénard, ne désespère pas de pouvoir transporter un jour, sans trop de mal, au musée du Louvre, ces œuvres si délicates et si réellement artistiques du grand peintre.