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Page:Paul Vibert - Mon berceau, 1893.djvu/412

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MON BERCEAU

C’est à elle que nous nous adressons de nouveau aujourd’hui, avec la ferme conviction de mener à bien notre tâche ; la presse a obtenu la démolition des immeubles par crainte de l’incendie, la presse doit obtenir l’achèvement de notre Bibliothèque nationale, et ce n’est plus au nom seulement du premier ou du second arrondissement que nous demandons cette aile si désirée, c’est au nom de tout ce qui pense, lit ou écrit en France, au nom d’un intérêt supérieur que personne n’a le droit de méconnaître, fût-il ministre ou président du Conseil municipal de Paris.