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Page:Paul de Musset - Course en voiturin, Italie et Sicile, 1845, 2.djvu/163

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VII

florence. — pise.


L’impression lugubre que produit l’entrée à Florence ne dure qu’un moment. Il n’y a de triste que les pierres, et tout le reste, au contraire, vous gagne le cœur par des sourires, des paroles douces et un accueil bienveillant. Derrière la sombre poterne sont de bonnes gens qui vous reçoivent comme un ami. Par la fenêtre grillée s’envole dans les airs une chanson comique. Au lieu de guet-apens vous