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Page:Paul de Musset - Course en voiturin, Italie et Sicile, 1845, 2.djvu/208

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qu’il est dans les honneurs et les richesses, il oublie et méprise ses anciens amis. Après avoir obtenu, non sans peine, que le narrateur achevât son récit, nous prêtâmes des oreilles complaisantes à ses belles dissertations sur les enfants de l’antique Étrurie et sur l’admiration qu’on leur doit, au mépris du reste de l’Italie et du monde entier ; toutes choses aussi incontestables qu’amusantes, mais dont le lecteur ne se soucie pas et dont on peut lui faire grâce.