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Page:Paul de Musset - Course en voiturin, Italie et Sicile, 1845, 2.djvu/307

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XIII

Turendot.


Si Peau d’Ane m’était contée, j’y prendrais un plaisir extrême, disait le bonhomme La Fontaine. Je le crois bien, car Peau d’Ane est un fort joli conte ; mais l’histoire de Turandot est bien plus belle encore. On peut la lire dans le recueil de Dervis Moclès, traduit par M. Pétis de La Croix. Gozzi, en l’ornant des charmes du dialogue et des masques comiques, en a fait son œuvre capitale. Calaf, fils de Timur, roi d’Astracan, battu par ses enne-