Aller au contenu

Page:Pichot - Monsieur de l'Etincelle, ou Arles et Paris, t. I, Gosselin, 1837.djvu/304

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ensemble en cabriolet ; justement au détour du chemin où se présente une des entrées de la manufacture de Sèvres, ils rencontrèrent M. d’Armentières qui montait tranquillement l’avenue. M. d’Armentières était très sobre de ses visites depuis quelques mois.

— Mon cousin, lui dit Maurice, j’ai du malheur si vous veniez passer la journée avec nous, car je vais à Paris, et je ne crois pas revenir pour dîner ; mais vous trouverez ma femme.

— Se porte-t-elle mieux ? répondit M. d’Armentières, elle m’avait paru un peu souffrante dimanche.

— Oh ! ce n’est rien ; il n’y paraît plus aujourd’hui.

— Et Isabelle ?

— Elle joue sur la pelouse : tenez, mon cousin, passez par le petit kiosque : je m’aperçois que j’ai emporté les deux clefs ; en voici une que je vous prie de remettre à Odille.

— Je m’en charge ; adieu, mon cousin. Bonjour, monsieur Mazade.

— Bonjour, monsieur, répéta Mazade