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Page:Pigault-Lebrun, L’Enfant du bordel, Tomes 1 et 2, 1800.djvu/294

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religieux charitable m’a prêté le manteau pour couvrir ma nudité. — Quoi ! vous êtes nu sous ce manteau. — Vous le voyez, madame. Alors j’ouvris le manteau. Mon outil, que la vue des tettons de la jolie femme avoit fait roidir, fut la première chose qui frappa ses regards. Ah ! pauvre malheureux ! tenez, voici une clef pour ouvrir la petite porte verte, je vais à votre secours. Elle me jette la clef. J’ouvre la porte, et me voilà dans le jardin.