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Page:Pigault-Lebrun, L’Enfant du bordel, Tomes 1 et 2, 1800.djvu/70

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se croisoient exactement sur ses reins ; ensuite, par un mécanisme sans doute préparé d’avance, son unique jupon tomba à ses pieds ; elle n’avoit point de chemise. Ah ! quel cul !… quel délicieux cul !… Le marbre n’est pas plus ferme… L’albâtre n’est pas plus blanc.

Devenu frénétique par cette vue, j’allai doucement m’agenouiller devant ce cul divin, j’y appliquai sans bruit de tendres baisers, j’écartai la superbe toison qui couvroit la grotte de l’amour ; j’en écartai les lèvres mignonnes et vermeilles, ma langue libertine y pénétra et fut y pomper le nectar brûlant de la volupté.

Je passai bientôt à des plaisirs