Aller au contenu

Page:Platon - Œuvres, trad. Cousin, XI, XII et XIII.djvu/180

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


L’ÉTRANGER.

Et ne peut-on partager encore en deux espèces la chasse aux animaux ? l’une pour les animaux marcheurs, qui se diviserait à son tour en un grand nombre d’espèces, avec des noms divers, ou la chasse sur terre ; l’autre, pour les animaux nageurs, ou la chasse dans l’élément fluide.

THÉÉTÈTE.

Soit

L’ÉTRANGER.

Et dans le genre nageur, nous distinguons l’espèce volatile de l’espèce aquatique ?

THÉÉTÈTE.

Sans contredit.

L’ÉTRANGER.

Et nous appelons toute chasse aux volatiles, chasse aux oiseaux ?

THÉÉTÈTE.

Oui.

L’ÉTRANGER.

Et pèche, en général, la chasse aux animaux aquatiques ?

THÉÉTÈTE.

Oui.

L’ÉTRANGER.

Celle-ci n’offre-t-elle pas, à son tour, deux espèces distinctes ?