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Page:Plotin - Ennéades, t. III.djvu/728

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PAR ORDRE ALPHABÉTIQUE.

III, 17, 75, 116 ; ou bien les astres, III, 113, etc.

DIFFÉRENCE, un des genres de l’être intelligible, III, 219.

DIODORE de Sicile, R., III, 608.

DIONÉ, mère de Vénus, populaire, II, 106.

DIOPHANE, rhéteur, (P), 1, 16.

DISCURSIVE (PENSÉE), διανοία (dianoia), Voy. Raison discursive.

DISPOSITION, διάθεσις (diathesis), espèce de qualité, I, 237, 242.

DIVINATION, Ses différentes espèces sont fondées sur l’étude des lois de l’analogie, II, 84.

δόξα (doxa) (Opinion) : étymologie, III, 73.

DOULEUR, une des passions de l’âme, II, 131.

DRAME (L’ordre du monde comparé à un) II, 61-67.

DYADE, dualité de l’intelligence et de l’Intelligible. — De la Dyade indéfinie et de l’Un sont nés les nombres et les idées, III, 11-18, 66,

Sens du mot dyade dans la doctrine des Pythagoriciens, (P), III, 628.

E

ÉDIFIÉ, ἐνιδρυθεὶς (enidrutheis). Le corps est édifié sur l’âme, I, 360 ; II, 441. Les êtres sont édifiés sur Dieu, III, 854.

ἡγεμονοῦν (hêgemonoun), le Principe dirigeant, II, 258, 447.

ÉGYPTIEN (Un prêtre) évoque le démon de Plotin, (P), I, 19. Allusion que Proclus fait à ce passage, II, 98.

ÉGYPTIENS (Les sages), cités par Plotin au sujet des hiéroglyphes, III, 117-118 ; mentionnés par Énée de Gaza, II, 676-677, et par Numénius, I, xcix,

εἶδος (eidos). Voy, Forme, Idée.

εἴδωλον (eidôlon), âme irraisonnable, image de l’âme raisonnable, I, 38, 48-50.

εἷναι ψυχῇ (einai psuchê), essence de l’âme I, 36.

ἐϰεῖ (ekei), là-haut, I, 199 ; II, 177.

ÉLÉMENTS, I, 151-157, Ce sont les corps engendrés par la Nature, II, 350 ; III, 135, 433-434.

EMPÉDOCLE, cité par Plotin, I, 203 ; II, 470, 478, 479, 487 ; III, 20, 439 ; par Énée de Gaza, 674-676 ; par Jamblique, II, 644, 652 ; par Porphyre, I, lxxxvi, II, 479.

ÉNÉE de Gaza, Son Théophraste, dialogue sur l’âme, analysé et traduit par M. Eug. Lévêque :

Opinions professées par les philosophes anciens sur la descente de l’âme dans le corps, II, 673. Les Néoplatoniciens expliquent chacun d’une manière différente les passages dans lesquels Platon dit que l’âme humaine passe dans des corps de bêtes, 676. Réfutation de la doctrine de la préexistence de l’âme, 679. Il n’est point nécessaire d’admettre la métempsycose pour justifier la Providence, 680. La vie actuelle suffit pour servir d’épreuve à l’âme humaine, 681. Origine de l’âme, 683. Pourquoi Dieu n’a pas créé toutes les âmes dès l’origine, 682. Immortalité de l’âme, 683. Quoique Dieu crée continuellement de nouvelles âmes, le nombre n’en est pas infini, 683. De la Résurrection, 687.

Le fond de cet ouvrage d’Énée de Gaza est tiré de Plotin et de S. Grégoire de Nysse, II, 614, 687.