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Page:Plotin - Ennéades, t. III.djvu/730

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PAR ORDRE ALPHABÉTIQUE.

Plotin, I, 2-3, 9. — Édition qu’il a donnée de ses livres, I, xxxvi. Différences que présente cette édition avec celle de Porphyre, II, 379, 604.

EXISTENCE (L’), τὸ εἶναι (to einai). Elle a pour formes la Pensée et la Vie, III, 87, 100.

EXTASE, ἔϰστασις (ekstasis), III, 563. — Voy. Enthousiasme et Vision de Dieu.

F.

FACULTÉS de l’âme humaine : résumé, II, 569-576. — Voy. Jamblique, Porphyre, Simplicius.

FATALISME (Réfutation du), II, 4-15, 515-518.

FÉNÉLON. Rapprochements avec Plotin : Dieu, I, 350 ; II, 266 ; III, 307, 321, 362, 429, 552-554. Providence, II, 25-26, 49, 51, 54. Raison, I, 352 ; III, 356-357. Temps, II, 175-179, 181-184, 198-199. Individualité de l’âme, II, 280-281. — Ces rapprochements s’expliquent par l’étude que Fénélon avait faite de S. Augustin, II, 54, 337-338, 529, 593 ; de Denys l’Aréopagite, etc.

FEU, I, 147, 155, 160 ; III, 433.

FICIN. Sa traduction, I, xvi, xl. — Ses arguments, I, xvii, 169, 173, 390-396, 477 ; II, 76-79, 84, 87, 97-98, 117, 240, 242, 244-247, 273, 371372 ; III, 186, 245, 330, 333, 338-340, 367, 380, 382-383, 393-395, 398, 402, 421, 425, 436-437, 484.

FIGURES INTELLIGIBLES, σϰήματα πρῶτα (skêmata prôta), III, 401-403.

FIRMICUS (Julius). R., 1, 167.

FORME SUBSTANTIELLE, εἶδος, μορφή, λόγος (eidos, morphê, logos). Elle contient à la fois l’essence, οὐσία, λόγος (ousia, logos), ou quiddité, τὸ τί ἦν εἶναι (to ti ên einai), et le pourquoi ou la raison d’être, διότι, τῆς ὑποστάσεως αἰτία (dioti, tês hupostaseôs aitia), III, 410-415.

Il y a trois espèces de formes, lesquelles procèdent l’une de l’autre : 1° la forme intellectuelle, idée ou intelligence ; 2° la forme rationnelle, raison ou âme ; 3° la forme sensitive ou raison séminale. À ces trois espèces de formes correspondent l’homme intellectuel, l’homme rationnel et l’homme sensitif, III, 410-425.

Dans le végétal, la forme est la puissance végétative ou nature, III, 431-432. Dans le corps inorganique, c’est l’habitude, la corporéité ; cette forme est divisible comme le corps lui-même, II, 254-255, 260.

Les pierres doivent leur forme à la puissance végétative de la Terre, III, 431-432 ; les éléments la doivent à la puissance naturelle de l’Âme, II, 350 ; III, 135, 433.

FORME DU MONDE (des Gnostiques), I, 529-530.

FRANCK (Adolphe), I, xxiii. Voy. Kabbale.

FROID (Le) est l’absence de la chaleur, II, 147.