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Page:Poe - Contes inédits traduction William L. Hughes, Hetzel.djvu/319

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XI

Grâce à cet heureux sommeil, il se baigne dans maint rêve de la constance et de la beauté d’Annette. — Il reste noyé dans un bain des tresses d’Annette.


XII

Elle m’embrassa tendrement, avec amour elle me caressa ; puis je m’endormis peu à peu sur son sein, — je tombai dans une profonde léthargie en roulant du ciel de son sein.


XIII

La lumière éteinte, elle m’enveloppa chaudement, et pria les anges de me garder de tout mal. — Elle pria la Reine des anges de me protéger contre le mal.