Aller au contenu

Page:Poe - Les Poèmes d’Edgar Poe, trad. Mallarmé, 1889.djvu/76

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Et tous mes jours sont des extases, et tous mes songes de la nuit sont où ton œil d’ombre s’allume et luit ton pas — dans quelles danses éthérées — par quels ruissellements éternels !