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Page:Poisson - Heures perdues, 1895.djvu/259

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Des éléments vaincus il s’établit le maître :
Le ciel n’est plus qu’un champ qu’il mesure au compas.
Partout plonge son œil avide de connaître,
Et la foudre soumise illumine ses pas.


Cependant, au millieu de ces nobles trophées,
Il tombera parfois sous un mal inconnu…
Le temps des douces fées
Serait-il revenu ?
II
Le savant dont l’œil suit dans les célestes sphères
La course d’un soleil récemment découvert,