il en résultera
.
Cela posé, si l’on fait, comme plus haut,
,
cette valeur de coïncidera avec celle qui se déduit de la formule (6), seulement lorsque sera un très petit nombre relativement à ; et pour d’autres valeurs de , le rapport de l’une à l’autre de ces deux valeurs de différera beaucoup de l’unité, et pourra même devenir un très grand nombre. En prenant, par exemple, et , la formule précédente donne
.
On déduit de la formule (6)
;
ou bien, à cause que le second facteur est à très peu près égal au troisième, il en résulte
;
Or, ces deux valeurs de s’accordent en ce sens qu’elles sont toutes deux très petites, et qu’elles montrent, en conséquence, que dans un très grand nombre d’épreuves, il y a une probabilité extrêmement faible que les deux événements E et F, dont les chances sont égales, arriveront des nombres de fois et , ou dont l’un sera triple de l’autre. Mais si l’on divise la dernière valeur de par la pre-